Depuis plusieurs mois maintenant, nous apprenons à connaître les travailleurs frontaliers dans leur vie quotidienne. Comment vivent-ils leur condition de travailleur frontalier ? Quel moyen de transport utilisent-ils, en quoi consiste leur travail, quel est leur salaire, que pensent-ils du Luxembourg, etc.

Tous ces portraits permettent de mieux connaître le profil des personnes qui chaque matin et chaque soir traversent la frontière pour aller travailler dans un autre pays. Qu’ils soient informaticiens, banquiers, cuisinier ou imprimeur, qu’ils soient de passage pour seulement quelques mois ou au Luxembourg depuis plusieurs années ou encore qu’ils soient heureux de travailler au Grand-Duché ou non. Toutes ces personnes ont partagé des tranches de vie avec nous.

En 2014, nous avons ainsi rencontré Erwan, directeur de parfumerie (“Il y a plus de potentiel au Luxembourg”) ; Thomas, manager dans une épicerie (“Le seul problème, c’est les camés”) ; Yann, opticien (“C’est plus les salaires de 2008 !”) ; Marc, agent de sécurité (“Je prie tous les jours pour ne pas travailler en France“) ; Maria, gérante de tabac-presse (“Entre 3.000 et 4.000 euros par mois”) ; Enzo, développeur (“En Lorraine, travailler au Luxembourg est synonyme de réussite”) : Florent, middle officer (“Mes proches ne me prennent pas pour un Emir, mais presque !”) ; Alexia, dans les ressources humaines (“On est beaucoup entre frontaliers!”) ; Stéphanie, serveuse (“Mon métier ? Faire faire la fête aux gens”) ; Nicolas, cuisinier (“Je suis une représentation vivante de l’ouverture des frontières !”) ; Fiona, assistante de recrutement (“Une atmosphère un peu trop anxiogène”) ; Louis, facility manager (“Avant le Lux, je n’avais pas de vie !”) ; Marie, vendeuse (“J’ai besoin de me déconnecter du Luxembourg”) ; Paul, directeur comptable et financier (“Je gagne 6 210 € grâce à l’Etat Luxembourgeois”) ; Ethan, chef d’entreprise (“Plus facile de parler à un ministre luxembourgeois qu’à un maire en France”) Elise, stagiaire parisienne qui découvre le Luxembourg (“Je n’avais pas du tout l’image là du Luxembourg !”) ; Pierre, serveur (“Mes proches me prennent pour Crésus, mais ne se coltineraient pas la route !”) ; Julien, imprimeur (“Nous sommes de moins en moins, nous devons en faire de plus en plus”) ; Chloé, assistante RH (“Être frontalier ? C’est un coup à prendre”) ; Cécile, designer floral (“Je vis plutôt mal ma situation de travailleur frontalier”) ; Luc, carrosier/peintre (“Le Luxembourg m’a apporté plus que mon propre pays”
) ; Charlotte, chargée de clientèle (“Après mon expérience au Luxembourg, je peux tout affronter“) ; Sébastien, informaticien (“Le covoiturage est la solution la plus rentable !”) ; Romain, statisticien de production (“Je suis allé là où l’on voulait de moi”
) ; Jeffrey, développeur (“Après un mois au Luxembourg, je préfère retourner bosser en France”).

Si vous souhaitez être contacté par lesfrontaliers.lu, pour partager une tranche de vie avec nous, envoyez-nous un mail à [email protected].