Vous n’êtes pas sans savoir que la situation de travailleur frontalier peut apporter son lot de stress quotidien, et ce pour des raisons diverses et variées !

Mais à en croire l’enquête publiée par Regus, le plus grand soucis du frontalier serait… le comportement dangereux des autres automobilistes (58%), devant l’agressivité au volant (47%) ou encore les retards concernant les transports en commun (37%). Pour en savoir plus, nous avons mené via un sondage notre propre enquête dont nous vous livrons les résultats !

81 % des frontaliers utilisent la voiture

Qui n’a jamais sursauté à cause d’un usager qui le dépasse d’un petit peu trop près ? Qui n’a jamais pesté contre un doublement par la droite ? A bien y réfléchir, le chiffre avancé par Regus n’a rien d’étonnant . Car si l’on se base sur notre sondage, ce sont près de 81 % des frontaliers qui font l’aller-retour chaque jour. De quoi provoquer donc bon nombre de comportement dangereux sur des routes déjà saturées !

Sécurité routière : les frontaliers se disent prudents

Pour les frontaliers, amener à engloutir plus de kilomètres que la moyenne des automobilistes, la voiture peut vite devenir une source d’angoisse. C’est pourquoi 35 % des participants à notre sondage ne s’estime pas tout à fait en confiance sur la route, tout préoccupés qu’ils sont à se méfier des autres conducteurs. Notons tout de même que pour la plupart (30%), la confiance reste de mise.

Les frontaliers adeptes de la vitesse ?

Paradoxalement, nous apprenons aussi que l’infraction la plus commise par les frontaliers serait l’excès de vitesse (30%), loin devant l’utilisation du téléphone au volant (14%) ou le stationnement interdit (13%).

Pour résumer, le frontalier a peur des autres usagers de la route mais n’est pas contre un petit excès de vitesse de temps en temps… : “L’ennemi est bête : il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui !” comme disait Desproges !