L’article intitulé “Le Luxembourg, un modèle à suivre ?” et publié mardi 26 janvier 2016,  met en avant la “compétitivité exemplaire” du Grand-Duché et tente de casser les préjugés qui peuvent exister sur ce “petit voisin que l’on oublie souvent“.

“Un petit pays qui parle français, pense européen et bat au rythme du monde sans renoncer à son identité”

L’auteur de l’article aborde ainsi de nombreux sujets, comme la présence de Luxembourgeois (à trois reprises), aux manettes de la présidence européenne, malgré la taille du pays “grand comme un département français et à la population comparable à celle de l’Isère ou de l’Ille-et-Vilaine“.

Il parle aussi de “secret, opacité, arrangements, blanchiment“, mais rappelle que les tax rulings ne sont pas une “spécialité luxembourgeoise” et que d’autres pays “comme la Belgique, les Pays-Bas, l’Irlande ou l’Autriche n’ont pas «démérité» en la matière“, surtout que des “réformes ont été menées à bien ces dernières années, qui ont permis au Luxembourg de sortir de la « zone grise »“.

“Ce n’est pas juste « une rue avec des banques »”

David Brunat poursuit en citant les atouts du pays (et pas uniquement fiscaux) qui attirent les entreprises et cite notamment les “champions technologiques” comme SES ou IEE.

Il met en avant la logistique du pays, avec la mise en place de la nouvelle ligne ferroviaire qui reliera le Luxembourg avec la province du Henan (en Chine) : “Pas mal pour ce petit pays à la démographie de sous-préfecture mais aux capacités de déploiement mondiales“.

Sans oublier le rôle de la famille grand-ducale, les frontaliers qui viennent y travailler chaque jour ou encore Schengen.

Finalement, pour l’auteur de l’article, “le Luxembourg n’est certainement pas au-dessus des critiques mais il vaut mieux que sa réputation et que le dédain mêlé de jalousie dont il fait l’objet“.

Lire l’article complet sur le site du quotidien français Le Figaro.