Luxembourg

Booba, vendredi en showcase au White (Foetz)

Le « Duc » sera la guest star du White Club Luxembourg. Monstre du rap français, fort d’un dernier album, Trône, certifié double disque de platine, il sera l’invité exceptionnel d’une soirée à ne pas manquer. Pas le temps pour les regrets…

Sois belge et tais-toi, vendredi à la Rockhal (Belval)

Le vingtième anniversaire du spectacle Sois belge et tais-toi ! Pour le “Grand Vingtième”, la troupe, connue pour tordre l’actualité avec impertinence et autodérision propre au Plat pays, revsitera ses meilleurs sketchs et personnages. Avec évidemment quelques nouveautés à l’approche des futures échéances législatives de 2018 et 2019. Politiciens susceptibles s’abstenir !

Wynton Marsalis & Jazz at Lincoln Center Orchestra, vendredi au Grand Auditorium (Luxembourg)

Pour quiconque s’y connaît en jazz, le trompettiste Wynton Marsalais et les musiciens du Jazz at Lincoln Center Orchestra sont des légendes vivantes. Cette saison, ils sont “Artists in Residence” à la Philarmonie Luxembourg. Les rois du swing et du blues proposent une plongée formidable dans l’univers du jazz.

Charlotte Bridge, vendredi à la Kulturfabrik

La chanteuse et compositrice Stefania Salvato développent le projet Charlotte Bridge en 2014. A l’aide de guitares, synthés et voix, elles créent des morceaux dreamy pop mélancoliques avec beaucoup de réverbes. Elle s’associe en 2015 avec le producteur luxembourgeois Edwin Aldin et sort son premier EP en 2016. Son premier album complet est prévu pour cette année.

Anénatis, samedi au Grand Théâtre (Luxembourg)

Après le succès unanime de son Dom Juan, Myriam Muller revient avec une mise en scène aux antipodes. Dans Anéantis, une pièce de Sarah Kane sortie en 1995 avant le suicide de celle-ci quatre ans plus tard, Myriam Muller pose une question centrale : la violence frontale imposée au spectateur doit-elle être stylisée ou bien convient-il mieux qu’elle soit réaliste ? A l’origine inspirée par la guerre en Bosnie, la représentation trouve un triste point d’ancrage actuel : le conflit syrien.

France

Michel Drucker : seul… avec vous, vendredi à la Passerelle (Florange)

Après cinquante ans de carrière et une ribambelles de stars en tous genres passées sur son canapé, Michel Drucker “espère vous étonner, vous émouvoir mais aussi vous faire rire.” Dans son one-man-show, il revient sur les coulisses, l’envers du décor et se livre sur lui-même. Le tout sans aucune mise en scène, à la seule force des mots

Juliette Armanet, vendredi à la BAM (Metz)

La plus branchée des artistes de la chanson français s’invite à Metz avec son piano, ses textes et sa voix. Folies sentimentales, nostalgie et humour sont la recette de son dernier album Petite Amie. Envoûtant. A la folie.

Catch impro: la grande finale, samedi au Capitole (Saint-Julien-lès-Metz)

Plus de deux heures de théâtre improvisé. Depuis plusieurs semaines, 40 improvisateurs messins s’affrontent lors de soirées de sélections impitoyables à la Fabrique de Metz. Les meilleurs, désignés par le public lorrain, combattront pour décrocher le titre de Meilleur Improvisateur. Une soirée humoristique sans pitié, 100 % où, par équipe de deux, les comédiens devront tenter de détrôner les tenants du titre : Baptiste Delon “la terreur chantante” et l’effroyable Kévin Conrad dit “le Duck” !

Théâtre de boulevard : Tueuse de cinq à sept, samedi à la salle Saint-Exupéry (Woippy)

Une comédie de Roland François Aeni, mise en scène par Catherine Prosi et présentée par la Cie du Théâtre d’à côté. Au programme, trois femmes sans scrupule trouvent une bonne idée pour arrondir leurs fins de mois. Elles fondent une agence de rencontre pour personnes d’âge mûr, reçoivent des messieurs, leur demandent 500 € et les empoisonnent au cyanure de potassium. Inspirant ?

Nana Mouskouri, dimanche à la Passerelle (Florange)

Le Forever Young Tour de celle qu’on ne présente plus s’arrête à Florange. Un rendez-vous exceptionnel puisque Nana Mouskouri ne montera que sur treize autres scènes européennes. Une tournée “prestige” tandis qu’un nouvel album est en préparation.

Belgique

Théâtre satirique : Colon(ial)oscopie, vendredi à la Maison rurale de Nassogne

Deux personnages clownesques abordent sans ambages le passé colonial belge. Un humour qui fait rire jaune à propos du racisme ordinaire et des tensions entre le Nord et le Sud du pays. Piquant à souhait !

Théâtre : Synforme de Walt, vendredi au Centre Culturel de Rochefort

Un spectacle de divertissement où apparaissent les héros Walt Disney de notre enfance. Fantaisiste certes mais aussi dénonciateur. A quel point sommes-nous atteint du Syndrôme de Walt ? A quel point ces contes ont-ils façonné notre imaginaire ? Le metteur en scène Eric de Staercke apporte quelques éléments de réponse par l’absurde.

Hamza, samedi à l’Ancienne Belgique (Bruxelles)

On peut parler d’ovni dans le rap francophone. Encore un jeune artiste issu de la génération dorée de rappeurs belges qui monte. Avec son nouvel opus, 1994, Hamza a acquis une visibilité et surtout une reconnaissance du grand public et de la scène rap.

L’Orchestre du Belgistan, samedi au Complexe scolaire de Tenneville

Un joyeux bazar en perspective où se mêleront influences tsiganes, afro-américaines, nord-africaines, jazz et cie. Une richesse sonore et dansante pour ce groupe qui performe depuis 15 ans et qui a notamment collaboré avec les Ogres de Barback.

Awel Blues Experience, dimanche à la Ferme Madelonne (Gouvy)

Inspiré des ZZ Top ou encore d’Eric Clapton, le trio formé en 2015 propose un répertoire de Blues-Rock. Encore tout jeune, la bande a déjà 75 dates à son actif en France, en Belgique et au Luxembourg. Une bonne manière de clôturer un week-end glacial dans un cadre chaleureux.