Luxembourg

Cinéma : «Veronica », vendredi au Kinoch (Esch-sur-Alzette)

Un film d’horreur à la sauce latine à découvrir dans le cadre du 19ème festival du film espagnol. Synopsis : dans les années 90, en plein Madrid, après avoir participé à une séance de spiritisme avec ses amies, une jeune fille est assaillie par des créatures surnaturelles qui menacent de s’en prendre à sa famille. Verónica est un film d’horreur et de terreur, basé sur une histoire réelle. Il s’inspire d’archives mystérieuses de police jamais résolues, et représente un cas d’activité paranormale officiellement reconnu par la police espagnole. Le film explore avec grande maitrise une atmosphère envoûtante et maléfique qui s’approprie la vulnérabilité de nos sentiments les plus intimes…

 

La Nuit blanche de l’humour noir, vendredi à l’Abbaye de Neumünster (Luxembourg)

Pour les amateurs de rires gênés, c’est la soirée à ne pas manquer ! L’humoriste Roukiata Ouedraogo (chroniqueuse dans l’émission « Par Jupiter » sur France Inter) présente un nouvel spectacle dans lequel elle revient sur son parcours, de son Burkina Faso natal, jusqu’à maintenant. Le terrorisme, l’excision, son éducation… rien n’est oublié !

Le comique d’origine marocaine Oualas s’assurera ensuite de faire perdurer la bonne humeur, avec un humour, là-aussi, plutôt épicé !

FEDER, vendredi, à l’Atelier (Luxembourg)

On ne présente plus FEDER, le DJ français mondialement reconnu. Le célèbre bimensuel américain Rolling Stone l’a d’ailleurs récemment cité parmi les « dix artistes que vous devez connaître ». … sous les projecteurs depuis son morceau Goodbye, l’artiste a placé sa deep house au sommet du classement Itunes dans pas moins de 21 pays européens.

 

Théâtre : « La maladie de la mort », vendredi et samedi au Grand Théâtre (Luxembourg)

C’est à l’origine un roman de Marguerite Duras qui raconte l’histoire d’un homme payant une femme pour passer plusieurs semaines en sa compagnie. Celle-ci doit l’apprendre à aimer. Au cours de sa représentation, interdite au moins de 18 ans et reconnue à l’internationale, Katie Michell met en images l’œuvre de Marguerite Duras. Elle associe une représentation théâtrale à un film tourné en direct sur le plateau. Trois caméras filment simultanément l’action sur scène. Leurs images sont montées en direct et projetées sur un grand écran au-dessus du décor. Le spectateur assiste ainsi en même temps au tournage d’un film et à sa projection.

Feu! Chatterton, samedi à l’Atelier (Luxembourg)

Décidément une programmation du tonnerre pour l’Atelier ce week-end ! Un jeune groupe pop rock français encensé par la critique. La sortie de leur premier EP financé par KissKissBankBank les propulse sur le devant de la scène. Les textes, inspirés des Gainsbourg, Ferré, Bashung et consorts, font mouche. Le quintette revient sur scène pour l’interprétation de son nouvel album à paraître bientôt dont le titre, Souvenir, livre un premier aperçu. Un vrai bon rendez-vous !

 

France

Adrienne Pauly, vendredi à la BAM (Metz)

On l’a vu dans des films des grands Claude Chabrol et Jean-Pierre Mocky. S’en sont suivis un album et deux nominations aux Victoires de la Musique. Pour son deuxième opus, Adrienne Pauly poursuit dans la désinvolture et l’humour noir, mais toujours pour raconter la vie, belle ou moche.

Kaviar Special, samedi au 112 (Terville)

Du rock garage à l’énergie adolescente par une bande de bretons. Des chants tranquilles en anglais, des variations de guitare à foison, Kaviar Special accroche d’emblée le spectateur. La Le band fait un stop à Terville après des interventions remarquées aux Transmusicales de Rennes et au Rock en Seine et trois albums studio.

 

Charge 69, samedi à la Passerelle (Florange)

Saint-Patrick, anniversaire et pogo. Voilà ce qui attend les amateurs du Punk Rock joué par Charge 69. Pour ses 25 ans, le groupe piochera dans son répertoire le meilleur de ce quart de siècle. Et les Messins ne sont pas en reste ! D’autant qu’ils viendront accompagnés de vieux amis que sont Neophyte et Peter and the Test Tube Babies. It rocks, non ?

 

Théâtre de Boulevard : « Le Poireau est dans l’ascenseur », samedi au Théâtre d’Henri’re (Rémily)

Wilfried Méroulache est un savant fameux, inventeur, entre autres géniales trouvailles, du Bidulotron, une machine tellement universelle que ses fonctions semblent illimitées. Mais sa dernière découverte attise des convoitises mondiales. Car il s’agit, la disparition du chat en témoigne, du secret de l’invisibilité ! Soudain, une maison tranquille abritant une vie de famille sereine… quoique légèrement excentrique, se transforme en terrain de manœuvres pour espions féroces et journalistes flairant le scoop…

Salon vins et terroirs de la Grande Région, samedi et dimanche à la salle du Val Marie (Thionville)

La 7ème édition de cet événement met à l’honneur les producteurs régionaux du Grand Est : vins de Lorraines, bières artisanales, sirops, charcuterie, fromages, safran, sève de bouleau… L’occasion de (re)découvrir les saveurs locales et de réveiller ses papilles !

Belgique

Théâtre : « Bug », vendredi au Théâtre Royal de Namur

Le World Trade Center est un complot.” L’affirmation est sortie de la bouche de bien des individus, soupçonneux, à tort ou à raison. Aurore Fattier s’amuse de cette paranoïa ambiante, s’inspirant de l’œuvre de Tracy Letts, Bug. “Un thriller fantastique, digne de Stephen King”, dixit Le Soir.

François Pirette, samedi au Wex (Marche-en-Famenne)

Un indémodable de l’humour belge qui fait son retour sur les planches avec un nouveau spectacle, François Pirette fait son Comic’out. 35 ans maintenant qu’il observe inlassablement les conjonctures des époques, la politique, la nostalgie… Le tout avec un éternel cynisme décomplexé.

 

Krakin’ Kellys, samedi à l’Entrepôt (Arlon)

Saint-Patrick oblige, voilà six Namurois qui balance du rock irlandais à la sauce punk. Micro énervé, basse grasse, flûte, cornemuse, accordéon… Le tout qui rappelle les airs et l’ambiance des sorties de pub de Berlin !

 

Guizmo, samedi à la Madeleine (Bruxelles)

L’ancien de l’Entourage signe son retour avec Amicalement vôtre, comme un mea culpa avec son passé sulfureux. Le Guiz’ a grandi et propose des textes plus matures, loin de l’apologie du vice aperçue dans ses premiers albums, mais rappe toujours à fleur de peau.

The Script, samedi au Forest National (Bruxelles)

Trois ans sans album pour le trio irlandais, c’est trop ! Le voilà de retour avec un cinquième opus, Freedom Child, que la critique accueille chaleureusement. Dans le cadre de sa tournée européenne, les trois compères interprèteront leurs quatorze nouveaux titres, en plus des grands succès qui ont forgé sa notoriété : The Man Who Can’t Be Moved, We Cry, Hall Of Fame