Luxembourg

Lonepsi et Sopico, vendredi à la Rockhal (Belval)

Le jeune rappeur solitaire Lonepsi débite une douce poésie mélancolique, sa marque de fabrique, dans son nouvel EP, Sans dire adieu. Des textes travaillés posés sur des instrumentales planantes et un résultat savoureux. En deuxième partie, Sopico, membre de la 75e Session proposera certainement son premier 15 titres sorti l’année dernière, MOJO.

 

Chlorophyl, vendredi au Ratelach, le bistrot de la Kulturfabrik (Esch)

Le trio musical luxembouregois au répertoire partagé entre créations originales et reprises d’artistes étrangers du nord de l’Europe, jouera ses morceaux romantiques en mêlant uniquement violon, piano et chanson.

Martha Graham Dance Company, samedi au Grand Théâtre (Luxembourg-ville)

L’artiste décédée aux 181 productions et aux multiples récompenses de prestige a marqué la danse contemporaine de son empreinte. Janet Eilber, dirigeante de la compagnie, reprend les chefs d’œuvre de sa pédecesseure tout en proposant un voyage dans le temps, à l’époque de Martha Graham.

Hollywood Undead, vendredi à L’Atelier (Luxembourg-ville)

Accompagné d’Astroid Boys, le groupe rock alternatif s’est fait un nom au niveau mondial grâce à son dernier album, Notes From The Underground, et son expansion sur les réseaux sociaux. Du son brute à décrouvrir à l’Atelier.

Olivier Latry, vendredi au Neimenster (Luxembourg-ville)

L’organiste de Notre-Dame de Paris est des plus éminents ambassadeurs de l’orgue au monde. A seulement 23 ans, il fut nommé titulaire des Grandes Orgues de Notre-Dame. Il donnera un concert dans l’église jouxtant l’Abbaye en explorant tous les champs possibles de son intrument.

France

Neal Black and The Healers, vendredi au 112 (Terville)

Auteur, compositeur et chanteur, Neal Black s’est forgé au fil de ses 25 ans de carrière un réputation de pointure dans le milieu du Blues Rock Texan. Ses deux premiers albums reçoivent quatre étoiles chacun du célèbre Rolling Stone Magazine. Il a notamment joué sur scène aux côtés de Chuck Berry.

Venus in the Dust et Fergessen, vendredi à la BAM (Metz)

Le trio minimaliste Venus in the Dust a gravi progressivement les échelons en commençant par des festivals régionaux et une première partie d’Arthur H notamment. Le duo Fergessen marient à merveille deux voix sur un beat électro et des basses synthétiques. Si bien qu’il donne naisse à une « Pop made in France ».

 

Agnès Bihl, vendredi à la Passerelle (Florange)

Son album, Merci Maman Merci Papa, paru en 1998 lui ouvre les portes de la gloire. Depuis, Agnès Bihl s’est imposé comme une figure de la chanson française. En 2009, elle a enregistré son 4ème album, Rêve Général(e), où sont intervenus Grand Corps Malade ou encore Alexis HK.

La Tentation des pieuvres, samedi à l’Arsenal (Metz)

Sur scène, un cuisinier, Claudius Tortorici qui cuisine des petites seiches. Autour, des tables où sont assis les spectateurs. Le tout accompagné par le dispositif sonore « octophonique » de Maguelone Vidal. Les musiciens se caleront dans le rythme et les gestes de Claudius le temps de la préparation. Dégustation en compagnie des artistes en prime une fois le plat préparé.

Musique et Chœur de l’Armée française, dimanche au Galaxie (Amnéville)

Pour la première fois sur scène, 150 artistes en habits d’apparat dont la fanfare de la cavalerie de la garde républicaine, interprèteront les différentes marches de l’armée française mais aussi de grands opéras et des thèmes de musiques de films. A ne pas manquer, pour la commémoration du centaine de la fin de Première Guerre mondiale.

Belgique

Infected, vendredi à l’Entrepôt (Arlon)

Le groupe a été créé en décembre 2013 et propose un trash/death métal avec des rifts lourds et mélodiques. Le tout sur un chant guttural en français.

MGMT, samedi à l’Ancienne Belgique (Bruxelles)

Le groupe de pop-psyché n’est plus à présenter tellement il a conquis son monde, ne serait-ce qu’avec l’hyperconnu morceau Kids. A l’Ancienne Belgique, il jouera son dernier opus, Little Dark Age.

Waltdisnerds, dimanche au Centre culturel de Libramont

L’histoire de Disney et de ses musiques de films racontée par de drôles de « Nerds «  en tenues décalés. Les quatre musiciens reprennent les grands classiques des dessins animés à l’aide d’accessoires comme le trombone ou le sousaphone. Désopilant !