La technologie modifie sensiblement les manières de travailler. Avec le numérique, il est désormais possible d’exercer son activité à distance, en tant que télétravailleur.

Si ces derniers sont nombreux à vanter les mérites du travail à domicile (ou pas), ils ne sont pas les seuls à vouloir s’engouffrer dans la brèche.

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Côté français, l’Etat souhaite lui aussi tirer bénéfice de cette forme d’activité croissante. D’après RTL, il songe en effet à remplacer certains arrêts maladie par le télétravail.

Concrètement, prendre le train, le bus, le métro ou rouler lorsqu’on se casse la jambe, cela peut s’avérer problématique pour se déplacer et notamment pour se rendre sur son lieu de travail.

Le salarié en arrêt ne serait plus forcément remplacé

En revanche, travailler de chez soi lorsqu’on s’est cassé la jambe semble tout à fait envisageable. Et c’est bien l’idée que voudrait exploiter le gouvernement. Le salarié en arrêt ne serait ainsi plus nécessairement remplacé

Le Premier ministre, Edouard Philippe, aurait d’ailleurs, selon le média, commandé une étude à ce propos qui pourrait être rapidement présentée.

RTL présente aussi d’autres alternatives comme les arrêts de travail numériques.

En mettant ces pistes en pratique, l’objectif est de lutter contre les arrêts de travail, courts et surtout longs, lesquels creusent le trou de la Sécurité sociale.

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