Novice sur le marché du trajet transfrontalier, Kussbus continue de tisser sa toile en tablant sur l’enthousiasme de ses usagers et des élus.

Au printemps dernier, une première ligne reliant Arlon au Kirchberg-Glacis lançait l’aventure en Belgique avec 19 places assises et réservables par autocar.

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Fin septembre, la société obtenait l’autorisation d’ouvrir un trajet côté français. Au départ du centre de Thionville, partent désormais quotidiennement des navettes de sept places jusqu’à ce même arrêt Kirchberg-Glacis entre 5h et 8h le matin, et entre 16h et 19h le soir en sens inverse.

Des discussions avec Hettange-Grande et Kanfen

Seulement, l’alternative à peine lancée, les demandes ont affleurée et les chauffeurs effectuent des stops intermédiaires. « Les navettes s’arrêtent aussi à Yutz, Gavisse, Distroff, Mondorff et Mondorf-lès-Bains, explique Annunziata Favasuli, du service marketing du groupe. Nous sommes également en discussion avec d’autres maires. Nous en avons démarché de nous-mêmes tandis que d’autres nous ont directement contacté. »

Les édiles de Hettange-Grande et de Kanfen sont notamment en contact avec la start-up. Une rencontre avec le premier magistrat de Distroff et ses homologues des villes et villages voisins se tiendra d’ailleurs le 7 novembre à 10 h en mairie de Distroff.

La porte-parole confirme, en outre, que des discussions sont en cours avec certaines communes afin de proposer des parkings gratuits proches des points de rendez-vous Kussbus pour les usagers.

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