N° 1, la ville de Thionville en France

La France est le premier pays fournisseur de main-d’œuvre frontalière au Luxembourg. C’est dans l’arrondissement de Thionville que réside en 2019 plus du quart des frontaliers soit un peu plus de 51 000 travailleurs.

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Autre secteur important, les environs de Briey, également situés à la frontière, où se concentrent près de 13 % de ces travailleurs, suivi de celui de Metz avec 8 %. Le rapport, de l’Observatoire Interrégional du marché de l’Emploi pour le 17e Sommet des Exécutifs de la Grande Région, note aussi que ces 3 zones géographiques rassemblent près de 47 % des frontaliers travaillant au Luxembourg.

Arlon, en Belgique, concentre 8% des frontaliers

La Belgique, dispose de la plus longue frontière avec le Luxembourg  avec 148 kilomètres (Allemagne 138 km ; France 73 km). De ce fait, les habitations des travailleurs frontaliers sont étendues tout le long de celle-ci.

Il faut noter que c’est au Sud que vit la majorité des travailleurs frontaliers belges.

Arlon et ses environs concentrent 8 % des frontaliers, cela représente un peu plus de 16 000 frontaliers.

C’est un secteur qui est le plus rapproché de Luxembourg-ville et ses alentours, où se concentre la plus forte activité luxembourgeoise. En effet, cette zone réunit d’importantes et de grandes entreprises ou encore des institutions européennes.

C’est ensuite dans l’arrondissement de Virton que résident 4 % des frontaliers.

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Saarlouis accueille 1% des travailleurs frontaliers

La Sarre et la Rhénanie-Palatinat, qui sont les deux seuls Länder allemands à avoir une frontière commune avec le Luxembourg, accueillent 94 % des frontaliers originaires d’Allemagne.

Les zones de résidence privilégiées par les frontaliers allemands sont Trier-Saarburg  où vivent plus de 14 700 frontaliers. Vient ensuite Eifelkreis Bitburg-Prüm avec 5 %.

Enfin, pour la partie sarrois, 3 % des frontaliers demeurent dans l’arrondissement de Merzig-Wadern (presque 6 400 personnes).

Saarlouis n’accueille, quant-à-elle que 1 % des travailleurs frontaliers.

De manière générale, on peut dire que plus on s’éloigne des frontières du Grand-Duché, et plus le poids des frontaliers qui résident dans ces zones diminue.

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