Si, les avis sont assez partagés sur la manière d’appréhender leur job, les frontaliers sont unanimes pour ce qui concerne leur motivation. Ainsi, 67 % des participants au sondage avouent que la raison principale qui les motives à aller travailler c’est leur salaire et leurs avantages.
11 % ne sont motivés à se lever le matin, que parce qu’ils ont un travail et 10 % par la nature de leur poste. Les perspectives d’évolution, n’enthousiasment finalement que 4 % des frontaliers.

Mais alors, comment se sentent-ils dans leur travail ?

Concernant le bien-être, si 1 travailleur frontalier sur 4 considère que son job peut, en fonction des journées, être à la fois passionnant et détestable, pour 24 % il est tout à fait plaisant. Et 20 % s’y sentent bien, même s’ils ne sont pas passionnés par ce qu’ils font.
En revanche, 15 % des frontaliers n’ont pas vraiment d’avis, puisque pour eux, “c’est un job, rien de plus”. Enfin, le même pourcentage ne peut carrément plus le supporter !

Côté rythme de travail, si 12 % se disent “complètement débordé” et 31 % considèrent qu’ils travaillent beaucoup trop, à l’inverse 7 %, trouvent que leur rythme est assez cool et 4 % avouent même qu’ils s’ennuient ! Cela dit, la majorité des travailleurs frontaliers (40%) font leurs 8 heures par jour et se sentent très bien comme cela.