p style=”text-align: justify;”>A profil et salaire égaux, les frontières font la différence. Législations, impôts et cotisations sont déterminants. Nous avons comparé la fiche de paie de trois informaticiens célibataires. Constat : l’écart entre salaire brut et net se creuse de 600 €. br />br />br />strong>Impôts et cotisations changent la donne/strong>br />br /> a href=”https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/drupal.content/documents/BS-luxembourgeois.png” target=”_blank”>img style=”float: left; margin: 3px;” src=”/sites/default/files/images/bs-l_0.png” alt=”” width=”140″ height=”170″ />/a>br />Le Luxembourgeois s’en sort le mieux, sur strong>3300 € de salaire brut/strong>, ce salarié sera rémunéré à hauteur de strong>2554 € net déjà imposé/strong>. L’impôt sur le revenu luxembourgeois (à hauteur de 360 € pour notre sujet) étant déjà prélevé à la source. br />br />/p>p style=”text-align: justify;”> /p>p style=”text-align: justify;”>br />br />br />/p>p style=”text-align: justify;”>a href=”https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/drupal.content/documents/BS-belge.png” target=”_blank”>img style=”float: left; margin: 3px;” src=”/sites/default/files/images/bs-b_0.png” alt=”” width=”140″ height=”170″ />/a>br />Pour l’informaticien belge, avec strong>un salaire net de 1941 €/strong>, il est le moins bien rémunéré des trois travailleurs. Ses strong>1359 €/strong> d’impôts et de cotisations, prélevés directement sur sa fiche de paie, l’amputent de strong>41%/strong> de son salaire brut ! br />br />/p>p style=”text-align: justify;”> /p>p style=”text-align: justify;”> /p>p style=”text-align: justify;”> /p>p style=”text-align: justify;”>a href=”https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/drupal.content/documents/BS-francais.png” target=”_blank”>img style=”float: left; margin: 3px;” src=”/sites/default/files/images/bs-f_0.png” alt=”” width=”140″ height=”170″ />/a>br />Avec un salaire de strong>2537 €/strong>, l’employé français semble en apparence bien loti. Seulement voilà, l’impôt sur le revenu n’est pas directement prélevé sur sa paie. En somme, strong>pour le français, c’est un peu la surprise/strong>. D’après une estimation réalisée grâce au site de la a href=”http://www.impots.gouv.fr/portal/dgi/public/popup?espId=1&typePage=cpr02&docOid=documentstandard_705&temNvlPopUp=true” target=”_blank”>Direction générale des finances publiques/a>, il devra payer 169 € d’impôts sur ce revenu. Il conserve donc strong>2368 € de salaire/strong>. br />br />/p>p style=”text-align: justify;”> /p>p style=”text-align: justify;”> /p>p style=”text-align: justify;”>strong>Et les cotisations dans tout ça ?/strong>br />br /> Concernant les Belges et les Luxembourgeois, la rétribution est sensiblement la même. Le Belge paie 445 €, contre 400 € pour l’informaticien luxembourgeois. Si le Français peut se targuer d’être l’employé payant l’impôt sur le revenu le plus bas d’Europe (selon le a href=”http://www.bdo.fr/actualites/presse/prelevements-sur-le-travail-la-france-exception-europeenne/” target=”_blank”>rapport/a> de septembre 2014 du cabinet d’audit et de conseil BDO), les cotisations sociales amputent son strong>salaire final de 763 €/strong>. br />br />Le travailleur belge arrive donc à la première ou à la dernière marche du podium, selon qu’on adopte son point de vue ou celui de l’État. Ayant presque deux fois plus de charges que ses voisins français et luxembourgeois, il strong>gagne 400 à 600 € de moins que ses voisins/strong>.br />br />/p>p style=”text-align: justify;”> /p>script id=”infogram_0_pour_un_salaire_egal_a_3300_” type=”text/javascript” src=”//e.infogr.am/js/embed.js?myi”>/script>div style=”width: 100%; border-top: 1px solid #acacac; padding-top: 3px; font-family: Arial; font-size: 10px; text-align: center;”>a style=”color: #acacac; text-decoration: none;” href=”https://infogr.am/pour_un_salaire_egal_a_3300_” target=”_blank”>pour un salaire égal à 3300 €/a> | a style=”color: #acacac; text-decoration: none;” href=”https://infogr.am” target=”_blank”>Create infographics/a>/div>p style=”text-align: justify;”>A.G. et M.B.br />br />Sources : Eurostat, BDO/p>