Luana Belmondo est devenue une figure et un accent incontournable parmi les passionnés de cuisine, et de la cucina italiana en particulier. Le temps d’un “Stars & stories” au Casino 2000 de Mondorf, l’animatrice a choisi de lâcher quelques instants ses fourneaux pour lever le couvercle sur sa vie, son parcours, ses petits secrets de femme et ses grande recettes de cuistot.

Avant ce rendez-vous du jeudi 23 novembre (21 h, entrée libre), elle passe à table pour partager les saveurs des fêtes de Natale d’hier et d’aujourd’hui. 

Si la petite Luana Tenca se souvient du Noël de son enfance, en fermant les yeux, elle revoit quoi ?

Luana Belmondo : « Je me vois, le jour-même de Noël préparer le sapin. Jamais avant. On me fait monter sur une chaise et je décore l’arbre que l’on va admirer pendant toutes les fêtes. Mais rapidement, c’est déjà vers la cuisine que je file… Là, il y a ma mamma, ma tante, ma grand-mère qui prépare le dîner.

Moi, je ne me contentais pas de regarder, j’aidais, j’apprenais. Les cappelletti faits maison, l’art du bouillon : tout mon amour des petits plats me vient de ces moments-là ! »

Quel est votre péché mignon durant les fêtes ?

« Définitivement, je craque pour les marrons glacés. Ça, c’est i-rré-sis-ti-ble pour moi à cette période de l’année. D’ailleurs, dans mon entourage, ma réputation est faite et l’on m’en offre beaucoup. Trop ? Non, ça n’est jamais trop (rires). 

C’est une douceur que j’ai découverte ici à mon arrivée en France. Je n’en avais jamais goûtés en Italie, mais quel délice. Pourtant, je ne suis trop “sucré” dans mes goûts habituellement.

En salé, il ne faut pas mettre devant un plat de fritto misto de verduras. Ah, les beignets de légumes et moi, c’est toute une histoire. D’ailleurs, j’en prépare toujours pour le 24 décembre. Mais si on m’en met un plat sous le nez, je crois que je ne pourrais pas m’arrêter d’en manger, d’en dévorer et… d’en réclamer encore ! »

C’est quoi la recette d’un bon Noël chez les Belmondo ?

« Le premier ingrédient indispensable, c’est la famille ! Paul, les enfants et maintenant notre petit-fils. Ensuite, pour le réveillon, c’est vraiment la tradition et l’Italie qui prennent le dessus. Le 24, pas de viande. On partira sur les fameux beignets de légumes, des spaghetti avec de la poutargue par exemple et un poisson au four.

Le lendemain, place aux cappellletti in Brodo pour ouvrir l’appétit, une sorte de pot-au-feu (avec paleron de bœuf, cuisse de dinde et une salsiccia pour donner du goût et -un peu- de gras) et puis après plutôt une pintade. Je ne suis pas dingue de dinde ! »

Rassurez-nous : même une spécialiste de la cuisine comme vous rate aussi certaines recettes ?

« Évidemment… et au grand désespoir de mes enfants d’ailleurs. Ils raffolent de la charlotte framboise-pomme et moi, je la rate à tous les coups. Une fois elle est trop liquide, la fois d’après c’est du nougat. Le pire, c’est que je ne vois pas là où je fais mal. Pour me rattraper, longtemps, je gardais une barquette de framboises en réserve et je leur en proposais à la place du dessert raté ! »

Vous êtes attendue au Casino 2000, jeudi. Quel est votre rapport au jeu ?

« Au casino, je crois que je ne sais jouer qu’à la roulette. Et dans la vie en général, je n’ai pas l’esprit joueuse, parieuse. D’abord parce que je perds toujours, ça n’encourage pas !

Quand on sort une boite de Monopoly en famille, vous pouvez être certain que je vais passer la moitié de la partie en case “prison”, voilà le genre ! Mais comme je n’ai pas l’esprit de compétition, je suis bonne perdante ce qui fait de moi une compagnon de jeu plutôt appréciée… »

 

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