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Forum / Vie quotidienne / pratique

Que pensez vous de Longwy  

Anonymous
Anonyme

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Il y a 5 ans   

A part quelques militants de gôôôôcheeeeeeee, je ne connais personne à Longwy qui soit satisfait de l'action de la mairie, notamment la catastrophe de la place Leclerc! A quoi ça sert de découvrir la Chiers si c'est pour la planquer dans une fosse en béton? Ils ont engagé un stagiaire en architecture pour faire des économies? 


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thcdelta
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Il y a 5 ans   

moi j'abandonne, relis le post il est vidé de sa substanfique moele, grace a l'esprit delateur de celui qui en est depourvu (d'esprit!)....

 

"nous sommes tous des juifs allemands!" DKB et...bon w-e a tous! 🙂


Anonymous
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Il y a 5 ans   

Longwy est peuplée pour moitié de vieux qui veulent que rien ne change ( la sidérurgie, la sidérurgie, la sidérurgie..) et pour moitié de frontaliers qui ne font qu'y dormir et se fichent éperdument de la ville! Les élus municipaux font malheureusement partie de la première catégorie et ne fichent strictement rien ( beaucoup de béton, saleté, routes et trottoirs  défoncés, camps de gitans..).


Anonymous
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Il y a 5 ans   

Oui et beaucoup de crottes de chien... ? 

Mais que fais la municipalité ? A quand une brigade canine pour ramasser toutes ces déjections ? 

 


Anonymous
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Il y a 5 ans   

fait *


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Polaris2002
3183 Messages

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Il y a 5 ans   

Il y a tout de même un point positif : Longwy sera épargnée de l'usine à poison Knauf Désolation. C'est nous, les Thionvillois et les Yussois, qui allons devoir respirer chaque jour 179 m³ d'oxyde de soufre, 92 m³ d'oxyde d'azote et 140 m³ d'ammoniaque. Vous vous plaignez, chers Longoviciens, mais comme le dit le proverbe : "On sait ce qu'on perd, on ne sait pas ce qu'on gagne".


Anonymous
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Il y a 5 ans   

Vous avez déjà l'A31, un malheur n'arrive jamais seul... 


Anonymous
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Il y a 5 ans   

Article du Figaro .fr sur Longwy: 

https://pastebin.com/Gbmyp6Li

  1. Européennes 2019: à Longwy, on vit l’Europe sans forcément y adhérer
  2. May 24, 2019
  3. De nombreux habitants partent de la gare de Longwy tous les matins pour aller travailler au Luxembourg.
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  7. Les odeurs d’épices et de volaille embaument la place Darche de Longwy (Lorraine). Ici, le couscous côtoie le fromage et la charcuterie italienne. Dans cette commune de 15.000 habitants, les cultures se croisent. Héritage du temps où cette ancienne cité industrielle attirait les travailleurs de toute l’Europe et même de l’autre côté de la Méditerranée.
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  11. Comme tous les jeudis, les habitants se pressent au marché pendant que, quelques kilomètres plus loin, les travailleurs transfrontaliers affrontent les bouchons monstres pour se rendre au Luxembourg. Près de la moitié de la population active du bassin de Longwy traverse la frontière tous les matins pour se rendre au Grand-Duché. Ceux qui ont choisi le train comme moyen de locomotion s’arrachent les cheveux pour trouver une place de parking près de la gare.
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  15. À Longwy, l’Europe est partout, proximité avec trois frontières oblige. La ville est à six kilomètres de la Belgique, à peine dix du Luxembourg et à 60 km de l’Allemagne. «Ce territoire est un laboratoire de l’Europe»,ssure le député LREM de la circonscription, Xavier Paluszkiewicz, à quelques jours des élections européennes du 26 mai. Lors du précédent scrutin, en 2014, l’abstention y avait été pourtant massive. Près de 70% des électeurs longoviciens ne s’étaient pas déplacés, et 24% des votants avaient choisi la liste Front national (désormais RN), arrivée en tête dans ce bastion de la gauche.
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  19. Des drapeaux aux douze étoiles jaunes flottent pourtant un peu partout, comme aux abords du lycée professionnel Darche. Au moment du déclin des industries minières et sidérurgiques, à la fin des années 70, les habitants ont afflué dans les pays frontaliers pour travailler. Le Luxembourg accueille 100.000 Lorrains chaque année, dont 22.000 provenant du bassin de Longwy.
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  23. «On change de frontière comme de trottoir»
  24. Patrick était l’un d’entre eux. Ce Longovicien de naissance a travaillé une dizaine d’années dans les usines sidérurgiques. Mais comme beaucoup, il a dû se tourner vers le Grand-Duché pour trouver un emploi. «Pour moi c’était dur au départ, témoigne le sexagénaire désormais à la retraite. Je me suis retrouvé dans des bureaux d’ingénierie conseil, c’est quand même différent de l’usine.» Patrick ne «crache» toutefois «pas dans la soupe», comme il le dit. Il reconnaît bien volontiers les avantages que lui ont procuré ses vingt-huit années au Luxembourg: un salaire 30% supérieur à l’Hexagone, une couverture sociale avantageuse et un pouvoir d’achat amplifié par sa résidence en France, où l’immobilier est bien moins cher que chez le voisin (aux alentours de 8000 euros le m² en moyenne pour un appartement au Luxembourg contre 1700 euros de moyenne pour Metz). Se considérant comme «européen», il reconnaît surtout deux avantages à l’UE: l’espace Schengen, qui a ouvert les frontières, et l’euro, qui lui a permis de ne plus être payé en franc luxembourgeois. «Avant, j’avais deux porte-monnaie», s’amuse-t-il.
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  28. Les commerçants non plus ne «crachent pas dans la soupe». Après 15 ans dans la grande distribution, Nathalie a ouvert une boucherie avec son partenaire de travail, Francis. «Sans le Luxembourg, on serait de pauvres gens, soutient-elle. Grâce à ça, on a des clients, et des clients qui ont de l’argent!».
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  32. Pauline, jeune horticultrice maraîchère de 25 ans, acquiesce. «On est tellement proches de la frontière que les clients luxembourgeois sont nombreux et ils sont friands de notre mobilier», assure-t-elle, tout en travaillant sa dernière composition fleurie. D’après elle, la ville «se développe lentement».
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  36. L’Europe, à Longwy, les habitants la pratiquent tous les jours. Les jeunes passent la frontière le temps d’une soirée, à l’image de Guillaume, 25 ans. Né au Portugal et arrivé en France à l’âge de trois ans, ce technicien en fibre optique sort au Luxembourg, parce que «ça bouge». «Nous les frontaliers, on s’amuse plus aux frontières que dans le pays même», lâche-t-il en souriant. Pour autant, quand on lui parle d’Union européenne, le jeune homme ne cache pas son désintérêt. Estimant que son vote «ne changera rien», il ne se déplacera pas dimanche 26 mai.
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  40. Le maire PS de Longwy, Jean-Marc Fournel, est bien conscient de ce paradoxe. «On change de frontières comme de trottoir. Est-ce que cela veut dire qu’il y a un sentiment d’appartenance? Non. Car on voit aussi les différences avec le Luxembourg. L’Europe est restée en panne sur certains sujets».
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  44. «Elle est où l’Europe?»
  45. «Elle est où l’Europe? lance Sophie qui travaille à Longwy depuis dix-huit ans. Ici il n’y a plus rien. L’Europe c’est de la merde. Les salaires, les prestations sociales sont différents d’un pays à l’autre. On fait pareil pour tout le monde ou on ne fait rien. On s’est fait rouler!» Longwy est l’exemple vivant de tous les paradoxes d’une Union dont les subventions sont mal perçues, voire invisibles aux yeux de ses bénéficiaires. Les investissements européens ont pourtant été conséquents pour aider à la reconversion des zones frontalières après la crise sidérurgique. En témoigne l’actuel Pôle Europe, un parc d’activité commercial immense, manne d’emplois pour le territoire.
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  49. Christelle travaille dans une grande enseigne, mais elle enchaîne les contrats en intérim et ne parvient toujours pas à trouver d’emploi stable. Elle non plus ne se considère pas comme «européenne»: «Je n’ai pas l’impression que l’UE fasse grand-chose». Le taux de chômage reste dans la moyenne, aux alentours de 9% pour 2018, et ce malgré l’attractivité du Luxembourg. «Le travail frontalier ne favorise pas forcément la ville, reconnaît le député Xavier Paluszkiewicz. Longwy souffre de problèmes d’attractivité, c’est aussi un coin qui est assez loin des instances départementales». Le sentiment de déclassement est palpable. Nombreux sont ceux qui regrettent l’époque dorée des industries où la ville était florissante. «Cette zone est fragile depuis la fermeture des usines et on retrouve les mêmes sentiments antieuropéens que dans des zones économiques délaissées», indique le sociologue Philippe Hamman.
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  53. Les travers du travail transfrontalier sont, eux, bien ressentis. Les loyers qui flambent, par exemple, du fait de nouveaux arrivants en quête de logements bien moins chers qu’au Luxembourg. À Longwy, les pavillons se propagent et se mêlent aux grandes barres d’immeubles. D’après l’INSEE la ville comptait en 2015 plus de 60% de locataires, plus de la moitié occupant un logement HLM.
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  57. Même si la population augmente, le personnel médical, lui, se raréfie, préférant tenter l’aventure luxembourgeoise, où les salaires sont plus élevés. À titre d’exemple, les consultations dentaires au Luxembourg sont de 33 euros contre 25 en France. Dany, un belge travaillant au Luxembourg et résidant dans le bassin de Longwy, connaît bien cette situation. «Les médecins sont peu nombreux et souvent ils ne prennent pas de nouveaux clients. J’ai déjà attendu cinq heures pour avoir une consultation et je n’étais pas à l’hôpital mais dans un cabinet!». Conséquence: de nombreux habitants sont contraints de traverser la frontière pour se faire soigner. Valérie, chirurgienne-dentiste, a quitté Longwy après y avoir exercé pendant 17 ans. «Pour mes patients employés en France, c’est compliqué, car ils n’ont pas la sécurité sociale luxembourgeoise, reconnaît la dentiste désormais installée dans le Grand-Duché. La sécu française ne les rembourse pas intégralement et cela peut prendre jusqu’à six mois !».
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  61. Autre désagrément qui agace: les bouchons. En fin d’après-midi, le trafic se densifie rapidement. Les klaxons retentissent à mesure que les voitures s’entassent les unes à la suite des autres. Malgré tout, les plus téméraires se pressent à la frontière pour faire le plein d’essence, bien moins chère au Luxembourg. Comptez environ 50 centimes de différence même si l’écart tend à se réduire. À Rodange, des stations-service à perte de vue. La «route des pompes», comme elle est surnommée ici, provoque d’importants embouteillages, surtout quand les poids lourds décident d’y faire un arrêt. Les esprits s’échauffent même parfois, certains n’hésitant pas à descendre de leur véhicule.
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  65. Amère déception
  66. Ces tracas quotidiens comme les disparités entre habitants d’une même ville, tendent à alimenter les tensions. «On a développé une société duale, analyse l’économiste Rachid Belkacem, dont les études portent sur Longwy. D’un côté, on a les frontaliers qui vivent bien et de l’autre, une partie de la main-d’œuvre locale avec une qualification plus faible qui n’arrive pas à trouver du boulot au Luxembourg et qui a du mal à s’en sortir. Il y a une crispation entre les deux populations». Gabrielle a déjà ressenti ce malaise. Cette travailleuse frontalière de 48 ans, d’origine italienne, regrette les tensions mais comprend la colère. «Imaginez une personne qui travaille à l’hypermarché près de la frontière, qui n’a pas un salaire très élevé, qui doit payer cher son loyer et qui, en plus, est impactée par le trafic et met une heure pour rentrer chez elle? Sans profiter des avantages! Je comprends qu’elle pense que le Luxembourg ne lui apporte pas grand-chose».
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  70. Lassitude et amère déception. À Longwy, les habitants sont frontaliers, sans se sentir forcément européens. «Les personnes qui traversent les frontières développent une connaissance pointue de l’autre système, constate le sociologue Philippe Hamman. Cela peut bien sûr aller dans le sens de l’intégration mais cela peut aussi confirmer des lectures plus clivantes de l’Europe».
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  74. Gabrielle ne se considère pas comme «proeuropéenne». La fermeture des frontières ne lui fait pas peur. Elle travaillait en Belgique avant la mise en place de l’espace Schengen. Elle ira voter dimanche prochain, comme d’habitude. Mais elle ne sait pas encore pour qui. Peut-être pour un candidat qui voudrait tout changer. Si une telle liste ne parvenait pas à la convaincre, alors elle pourrait sauter le pas et choisir un parti favorable à un «Frexit», la sortie de la France de l’Union européenne: «En étant si proches des frontières, on devrait être les plus privilégiés. Mais on est les premiers à voir que ça dysfonctionne à mort».

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labandeaGinette
longwy | france | 61 Messages

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Il y a 5 ans   

Longwy pourrait être une zone très attractive (les 3 frontières, l'Allemagne pas loin, des gens chouettes), mais le projet politique du pouvoir en place a toujours été le même: rien n'a jamais été fait dans l'intérêt général (mais uniquement dans l'intérêt particulier des parasites en place et de leur clientèle immigrée, car lorsque les Français du coin ont réalisé que ces politiques les menaient dans le mur, nos chers politiciens ont importé des électeurs). Avec quel slogan? Nous, on est les bons (car ces profiteurs qui trichent à longueur de journée pour encore plus profiter du système qu'ils ont eux-mêmes créé, osent se dire du côté de la morale); vous, vous êtes des fachos. Arrêtons-nous une seconde sur ce terme, et voyons de quel côté est la morale. Personnellement, chaque culture a ses richesses, et leur diversité est à préserver: je suis aussi éblouie devant une mosquée d'Ispahan que devant un temple grec ou une pyramide égyptienne ou inca, même si je ne peux pas m'empêcher de placer sur la première place du podium Notre-Dame, parce que (et il me semble que c'est légitime), c'est ma culture, mon histoire, c'est Paris, c'est Victor Hugo, et si l'on me trouve chauvin, ok, j'assume. Rien à voir avec un facho, mais (pour retourner le pseudo bon mot de mélenchon) fâchée: ça, oui, mille fois oui! Qu'est-ce qui est moral? Une explosion hier à Lyon. Que décide Macron? De ne rien changer à son programme sur youtube (en contournant au passage la loi électorale), car tout ce qui compte pour lui, c'est son match de boxe contre le pen. Où est la décence??? Vendredi, vers 20:30, séance de zapping: sur france24, je tombe sur un reportage dont le sujet est l'europe: à molenbeek, la maire moureaux (sans doute une parente de l'ancien moureaux) est interrogée et dit que dans sa commune, il y a des gens très bien (sur ce point, on est d'accord: on n'a jamais généralisé et dit que tous étaient des terroristes) et  quelques "personnes qui ont fait des bêtises"... On croit rêver: elle parle des individus impliqués dans les attentats de Paris... Je zappe à nouveau, car ses propos me donnent la nausée. A-t-elle une seule seconde eu un peu d'empathie pour les victimes, pour leurs proches? Où est sa décence??? Et ce sont ces gens-là qui veulent nous donner des leçons de moralité et nous persuader qu'ils savent mieux que nous ce qui est bien pour nous et nos enfants...


Anonymous
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Il y a 5 ans   

Vos commentaires me donne la nausée !!!


Anonymous
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Il y a 5 ans   

DONNENT !! 


Anonymous
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Il y a 5 ans   

Vous n'aimez pas LONGWY, quittez là, allez vivre ailleurs ! Pas la peine de venir déverser votre haine ici ! 


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thcdelta
12409 Messages

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Il y a 5 ans   

non le débat devient interessant!!!

 

aimer sa propre culture n'est en aucuns cas une preuve de suprematisme blanc....l'europe a developpé ses propres concepts ce qui ne denature en aucuns ce qui a ete fait ailleurs dans le monde!


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thcdelta
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Il y a 5 ans   

aucuns cas


Anonymous
Anonyme

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Il y a 5 ans   

On n'a pas le droit de dire pourquoi Longwy  est naze... C'est ça la liberté d'expression ?