Cette étude a démarré le 31 mars 2021 sur une période de 14 jours. Il a été demandé par le contact tracing aux personnes positives si elles avaient été contaminées au travail.

23 % ont répondu qu’elles ont été certainement ou probablement infectées sur leur lieu de travail. Une étude a suivi sur les circonstances et les sources des contaminations. Qu’est-ce qui en ressort ?

Certains secteurs sont plus sensibles aux risques de la Covid-19 en raison des facteurs inhérents à leur activité, comme l’impossibilité notamment de télétravailler ou de maintenir des distances de sécurité.

L’étude montre que l’industrie alimentaire, les secteurs de la transformation, de la production et de la conservation de la viande présentent des incidences particulièrement élevées.

Les coiffeurs, métier à risque

Les métiers de contact apparaissent aussi impactés par la circulation du virus. Parmi celles-ci, l’augmentation la plus élevée a été constatée parmi les coiffeurs non indépendants malgré les mesures sanitaires et les protocoles mis en place.

D’autres métiers sont soumis à de fortes expositions au coronavirus comme les professeurs de l’enseignement obligatoire, le secteur du nettoyage dans la collecte des déchets, les prestations dans des centres d’appel ou dans des activités d’emballage, des secteurs manufacturiers, où le télétravail n’est pas possible ou encore le commerce de gros ou de détail.

Une bonne nouvelle

Le rapport note une baisse significative des incidences dans le secteur de soins de santé, des travailleurs hospitaliers, extra-hospitaliers ou en résidence collective de soins, où l’on ne constate plus d’augmentation des cas.

Lire : Les restaurants et les cafés vont rouvrir au Luxembourg

Lire Immobilier trop cher au Luxembourg : se loger aux frontières