Tout au long de l’année 2015, nous avons découvert des profils de frontaliers différents. Qu’ils soient informaticiens, commerciaux, infirmiers, vendeurs, employés de banque, journalistes, secrétaires, ouvriers, chefs d’entreprise, agents de sécurité, professeurs, etc.
Ils ont tous leur manière d’appréhender leur statut de frontalier et leur vie au quotidien.

Il y a ceux pour qui considèrent que travailler au Luxembourg est une réelle opportunité, ceux qui ne sont que de passage, d’autres qui ont du mal à s’habituer aux trajets ou à s’intégrer avec leurs collègues, les frontaliers qui adorent l’environnement cosmopolite, ceux qui gagnent deux fois plus que dans leur pays de résidence, il y en a qui en profitent pour raconter des anecdotes amusantes, ceux qui veulent travailler ailleurs, etc.

Jeunes ou moins jeunes, qu’ils découvrent le Grand-Duché ou y travaillent depuis des années, tous les frontaliers ont une histoire à raconter, des coups de gueule à passer ou une expérience à partager.

Si vous avez envie de nous raconter votre quotidien et qu’il soit publié sur lesfrontaliers.lu, n’hésitez pas à nous contacter en envoyant un mail à [email protected]. Nous vous recontacterons.

Découvrir ou re-découvrir les portraits de frontaliers de 2015

Adrienne, infirmière : “Ce que l’on entend sur les Luxembourgeois n’est pas vrai !”

François, Software Engineer dans une SSII : plus de travail, plus de trajets, mais plus à la fin du mois ! 

Sébastien, commercial : “pas facile d’avoir un profil polyvalent au Luxembourg” 

Clara, graphiste dans une petite maison d’édition : “personne n’est irremplaçable, j’essaye de ne pas être trop gourmande”

Jessica, chef de projet : au Luxembourg, on me prend pour une “pauvre française” 

Cathy, web-développeuse dans une SSII, a déménagé au Luxembourg : “je n’en pouvais plus de la route” 

Eduardo, vendeur dans un magasin de prêt-à-porter : “j’ai quitté le Luxembourg pour m’installer en Belgique” 

Marine, esthéticienne : “les Luxembourgeoises sont vraiment généreuses” 

Emilie, infirmière chargée de soins à domicile : “au Luxembourg, tout se sait” 

Justine, opératrice de la finance : “Le Luxembourg est idéal quand on veut y faire carrière” 

Cédric, employé de station-service : Je ne comprends pas ce qui se passe dans la tête des gens 

Laurence, administratrice de base de données : “le rythme de vie d’un frontalier est dur à suivre !” 

Damien, coordinateur communications et événements : “les frontaliers ont une peur bleue de perdre leur place”

Eric, paysagiste : “pas facile d’être intérimaire”

Emma, journaliste stagiaire dans un média du Luxembourg : “les Luxembourgeois n’aiment pas beaucoup les Français” 

Loïc, intégrateur Web dans une agence : “j’ai l’impression d’être sur une autre planète” 

Martine, secrétaire dans un Big4 : au Luxembourg, c’est moins “brouillon” 

Hervé, ouvrier industriel : “j’ai fait une croix sur mes week-ends” 

Alex, chargé de projet informatique dans une société de transport : “le Luxembourg n’est pas forcément un eldorado”

Elodie, sage-femme : être frontalière “permet de vivre différemment”

Véronique et Jean, opérateurs de production : les petits salaires au Luxembourg toujours plus avantageux qu’en France 

Olivier, employé de banque : “Je ne me sens pas comme un frontalier ordinaire”

Céline, infirmière dans un hôpital : Le prix d’une maison équivaut au prix d’une cabane au Luxembourg 

Adam, chef d’entreprise : “Etre frontalier pose des défis spécifiques” 

Charlotte, chargée Ressources Humaines : “Le Luxembourg n’est pas que mon lieu de travail” 

Thierry, Géomètre au sein d’une entreprise de travaux : “Je ne le regrette toujours pas !” 

Baptiste, agent administratif dans une banque privée : “Quitte à travailler dans la finance, autant regarder vers le Luxembourg” 

Jérôme, agent de sécurité : “Tant que je suis jeune, je peux me constituer un matelas” 

Pascale, secrétaire médicale : “je parle luxembourgeois, anglais, français, allemand et néerlandais” 

Richard, cadre d’entreprise : “Le challenge m’a aidé à résister” 

Steve, professeur de langues : “Life in the fast lane” 

Georgio, vendeur multimédia : “En fin de journée, je rentre carrément en pédalant” 

Ulrike, employée back-office : “Les gens craignent fortement pour leur avenir” 

Gérard, éducateur sportif : “Une vie de banlieusard” 

Mathilde, documentaliste : “les travailleurs limitrophes se couchent à l’heure des poules”

Roland, responsable commercial : “J’ai toujours été frontalier” 

Juliette, commerçante dans une station-service : “Je n’en pouvais plus de la route”